Fascicule introductif à l'usage du nouveau pratiquant
1. Identité propre du Ren Shin Kan dojo :
Le Ren Shin Kan vise à dispenser un enseignement d'aïkido dont l'ingrédient principal est le « cœur ». L'entraînement se veut certes exigeant physiquement, dans le respect des possibilités de chacun, mais sans négliger la partie spirituelle de la progression.
C'est Sugano Seiichi Shihan, 8ème dan de l'Aïkikaï de Tokyo et élève direct du fondateur de l'aïkido qui a donné le nom du dojo. Par « Ren », il faut entendre « drill », en anglais, notion supérieure à celle du « training » (entraînement). « Shin » désigne l'esprit et « Kan », le lieu, la maison.
Ce dojo essaie d'être à la hauteur de son appellation où l'entraînement rigoureux se fait au travers du développement de l'esprit.
La localisation du dojo dans une modeste petite école accentue le climat d'étude et de recueillement. Le professeur espère compenser le relatif manque de confort des lieux en proposant un enseignement plus intimiste et en soudant l'équipe de pratiquants autour d'idéaux communs. Ainsi le Ren Shin Kan se veut notamment être à l'origine d'un projet social visant à promouvoir l'aïkido auprès des enfants de l'école primaire « La Farandole », école qui abrite le dojo (voir projet socio-éducatif).
L'enseignement a l'ambition de se construire autour d'un noyau dur d'élèves, noyau qui croîtra lentement en se constituant de gens motivés. Rien n'est en effet plus difficile à gérer que la coexistence au sein d'un même cours, de pratiquants « réellement motivés » et de pratiquants s'exerçant en « dilettante ». Les cours du Ren Shin Kan s'adressent incontestablement à la première catégorie de pratiquants. Rappelons que l'exigence ne se conjugue pas avec l'austérité, loin s'en faut ! La joie et l'enthousiasme font vibrer le cœur de l'école...
2. Projet socio-éducatif associé au REN SHIN KAN :
L'école « La Farandole » propose, une activité d'aïkido aux enfants des classes de première et deuxième primaire. Cette activité est englobée dans l'horaire normal des cours et vise à favoriser le développement psycho-moteur de l'enfant mais aussi son apprentissage à la différence, au respect et à la discipline. Cette initiative nécessite des moyens en vue de l'étendre aux autres classes du primaire. Pour ce faire, le Ren Shin Kan propose de soutenir, dans la mesure de ses moyens cette initiative en versant une partie des cotisations perçues au cercle des anciens étudiants afin que celui-ci organise des cours supplémentaires destinés aux enfants des autres classes.
La volonté de Maître Morihei Ueshiba, O Sensei, le fondateur de l'aïkido, était manifestement de léguer à l'humanité un outil non seulement de développement de soi et de réalisation de l'harmonie avec autrui mais plus encore, un art qui éveille à l'amour inconditionnel entre les peuples et les générations. Ce modeste projet auquel adhère le Ren Shin Kan se veut rappeler cet idéal.
3. Tendances pédagogiques de l'enseignement au REN SHIN KAN :
Le professeur Christophe DEPAUS est un élève de Sugano Seiichi Shihan 8e dan (décédé en 2010) et de Christian Tissier Shihan 8e dan. Ce sont eux qui lui ont décerné ses grades aïkikaï, du 1er au 6e dan. C’est le fruit de leurs enseignements qui est donc privilégié au REN SHIN KAN.
Toutefois, l'instruction se veut pluraliste et éclectique. Ainsi Christophe apprécie particulièrement d'autres maîtres dont il essaiera de restituer l'enseignement. Citons entre autres Miyamoto Tsuruzo Shihan 8e dan, Kuribayashi Takanori Shihan 7e dan et Kobayashi Yukimitsu Shihan 7e dan (liste non exhaustive – voir CV professeur).
4. Organisation des cours :
4.1.
Les cours sont habituellement donnés les lundi et jeudi de 20h à 21h30, et les mercredis de 19h30 à 21h00. Certains cours supplémentaires, thématiques, sont prévus. Les dates et les modalités sont communiquées en temps utile.
Le dojo étant fermé à clé, les pratiquants sont priés de se rendre devant la porte principale à 19h30 (19h00 les mercredis). Le groupe entre ensemble dans l'école. La porte étant refermée à clé ensuite, il n'y a plus moyen d'entrer. Pour les retardataires, une seconde entrée sera prévue à 19h45 (19h15 les mercredis), soit quelques minutes avant le début du cours. Il va de soi que cette possibilité ne doit pas être utilisée intentionnellement mais seulement en cas d'imprévus. Les élèves entrant à 19h30 (19h00 les mercredis) doivent participer au montage du tatami et à son nettoyage, activité intégrante à la pratique. C'est la raison pour laquelle, on ne saurait tolérer une arrivée systématique à 19h45 (19h15 les mercredis), en vue d'échapper aux activités d'entretien du dojo. Le cours effectif commence à 20h (19h30 les mercredis).
4.2.
La possibilité pour le professeur de participer aux stages constitue une priorité. Il est indispensable pour un pratiquant et a fortiori un pratiquant-enseignant de participer aux stages dirigés par les maîtres. Ainsi, Christophe effectue près de 200h de stages par an, tant en Belgique qu'à l'étranger. Bien que la plupart de ces stages soient organisés lors de week-ends ou pendant les périodes de vacances scolaires, certains d'entre eux pourraient avoir lieu en semaine, en cours d'année. En règle générale, dans ce cas de figure, les cours seront néanmoins assurés par un élève gradé du dojo. Toutefois, l'option de remplacement n'est pas une obligation. Il est demandé aux pratiquants d'accepter cet état de fait en songeant que tout investissement personnel de l'enseignant dans sa propre progression ne peut que rejaillir positivement sur la qualité des cours. Ces « absences » sont le prix à payer pour un enseignement de qualité. Elles ne peuvent être invoquées contre un remboursement quelconque, même partiel, de cotisation. Aucune contestation de ce principe ne sera entendue.
En outre, Christophe dispense également, lui-même, des stages tant en Belgique qu’à l’étranger (e.g. Suisse, Autriche, Tunisie, Grèce, Italie). L’accompagner lors de ses déplacements est une manière de prolonger l’apprentissage.
4.3.
Certains cours seront assurés par des professeurs visiteurs, soit en partage avec Christophe soit totalement. Cette pratique fait partie de la nécessaire ouverture d'esprit qu'il faut garder tout au long de son apprentissage. Elle fait également partie des règles de courtoisie entre professeurs.
Le Dojo-Cho, à savoir Christophe, peut ainsi remercier la présence et témoigner sa confiance en déléguant un de ses cours à un pratiquant haut gradé qui lui ferait l'honneur de rendre visite au dojo. Il est demandé aux pratiquants de se plier à cette règle et de profiter au maximum de la diversité d'approches qui leur est ainsi offerte.
5. Étiquette et comportement :
Vous pouvez inviter quiconque à venir regarder un cours à n'importe quel moment, à condition d'avoir préalablement demandé l'autorisation au professeur et que les règles suivantes soient observées :
Bien qu'il y ait de nombreuses règles d'étiquette à assimiler, elles viendront naturellement avec une pratique régulière. Ne soyez pas vexé si on vous corrige un détail, car chacun de ces détails est important pour la sécurité de tous et a un but éducatif précis.
L'aïkido n'est pas une religion, mais une éducation et un perfectionnement de l'esprit.
Prérogatives particulières du professeur :
6. Parrainage :
Tout nouveau pratiquant au dojo se voit désigner un parrain. Celui-ci a pour mission d'encadrer le débutant et de répondre à toutes ses questions. Le parrain est d'une certaine façon, le garant du pratiquant nouveau venu. Le parrainage en tant que tel se prolonge jusqu'au passage de l'examen de 6ème kyu.
Le Ren Shin Kan vise à dispenser un enseignement d'aïkido dont l'ingrédient principal est le « cœur ». L'entraînement se veut certes exigeant physiquement, dans le respect des possibilités de chacun, mais sans négliger la partie spirituelle de la progression.
C'est Sugano Seiichi Shihan, 8ème dan de l'Aïkikaï de Tokyo et élève direct du fondateur de l'aïkido qui a donné le nom du dojo. Par « Ren », il faut entendre « drill », en anglais, notion supérieure à celle du « training » (entraînement). « Shin » désigne l'esprit et « Kan », le lieu, la maison.
Ce dojo essaie d'être à la hauteur de son appellation où l'entraînement rigoureux se fait au travers du développement de l'esprit.
La localisation du dojo dans une modeste petite école accentue le climat d'étude et de recueillement. Le professeur espère compenser le relatif manque de confort des lieux en proposant un enseignement plus intimiste et en soudant l'équipe de pratiquants autour d'idéaux communs. Ainsi le Ren Shin Kan se veut notamment être à l'origine d'un projet social visant à promouvoir l'aïkido auprès des enfants de l'école primaire « La Farandole », école qui abrite le dojo (voir projet socio-éducatif).
L'enseignement a l'ambition de se construire autour d'un noyau dur d'élèves, noyau qui croîtra lentement en se constituant de gens motivés. Rien n'est en effet plus difficile à gérer que la coexistence au sein d'un même cours, de pratiquants « réellement motivés » et de pratiquants s'exerçant en « dilettante ». Les cours du Ren Shin Kan s'adressent incontestablement à la première catégorie de pratiquants. Rappelons que l'exigence ne se conjugue pas avec l'austérité, loin s'en faut ! La joie et l'enthousiasme font vibrer le cœur de l'école...
2. Projet socio-éducatif associé au REN SHIN KAN :
L'école « La Farandole » propose, une activité d'aïkido aux enfants des classes de première et deuxième primaire. Cette activité est englobée dans l'horaire normal des cours et vise à favoriser le développement psycho-moteur de l'enfant mais aussi son apprentissage à la différence, au respect et à la discipline. Cette initiative nécessite des moyens en vue de l'étendre aux autres classes du primaire. Pour ce faire, le Ren Shin Kan propose de soutenir, dans la mesure de ses moyens cette initiative en versant une partie des cotisations perçues au cercle des anciens étudiants afin que celui-ci organise des cours supplémentaires destinés aux enfants des autres classes.
La volonté de Maître Morihei Ueshiba, O Sensei, le fondateur de l'aïkido, était manifestement de léguer à l'humanité un outil non seulement de développement de soi et de réalisation de l'harmonie avec autrui mais plus encore, un art qui éveille à l'amour inconditionnel entre les peuples et les générations. Ce modeste projet auquel adhère le Ren Shin Kan se veut rappeler cet idéal.
3. Tendances pédagogiques de l'enseignement au REN SHIN KAN :
Le professeur Christophe DEPAUS est un élève de Sugano Seiichi Shihan 8e dan (décédé en 2010) et de Christian Tissier Shihan 8e dan. Ce sont eux qui lui ont décerné ses grades aïkikaï, du 1er au 6e dan. C’est le fruit de leurs enseignements qui est donc privilégié au REN SHIN KAN.
Toutefois, l'instruction se veut pluraliste et éclectique. Ainsi Christophe apprécie particulièrement d'autres maîtres dont il essaiera de restituer l'enseignement. Citons entre autres Miyamoto Tsuruzo Shihan 8e dan, Kuribayashi Takanori Shihan 7e dan et Kobayashi Yukimitsu Shihan 7e dan (liste non exhaustive – voir CV professeur).
4. Organisation des cours :
4.1.
Les cours sont habituellement donnés les lundi et jeudi de 20h à 21h30, et les mercredis de 19h30 à 21h00. Certains cours supplémentaires, thématiques, sont prévus. Les dates et les modalités sont communiquées en temps utile.
Le dojo étant fermé à clé, les pratiquants sont priés de se rendre devant la porte principale à 19h30 (19h00 les mercredis). Le groupe entre ensemble dans l'école. La porte étant refermée à clé ensuite, il n'y a plus moyen d'entrer. Pour les retardataires, une seconde entrée sera prévue à 19h45 (19h15 les mercredis), soit quelques minutes avant le début du cours. Il va de soi que cette possibilité ne doit pas être utilisée intentionnellement mais seulement en cas d'imprévus. Les élèves entrant à 19h30 (19h00 les mercredis) doivent participer au montage du tatami et à son nettoyage, activité intégrante à la pratique. C'est la raison pour laquelle, on ne saurait tolérer une arrivée systématique à 19h45 (19h15 les mercredis), en vue d'échapper aux activités d'entretien du dojo. Le cours effectif commence à 20h (19h30 les mercredis).
4.2.
La possibilité pour le professeur de participer aux stages constitue une priorité. Il est indispensable pour un pratiquant et a fortiori un pratiquant-enseignant de participer aux stages dirigés par les maîtres. Ainsi, Christophe effectue près de 200h de stages par an, tant en Belgique qu'à l'étranger. Bien que la plupart de ces stages soient organisés lors de week-ends ou pendant les périodes de vacances scolaires, certains d'entre eux pourraient avoir lieu en semaine, en cours d'année. En règle générale, dans ce cas de figure, les cours seront néanmoins assurés par un élève gradé du dojo. Toutefois, l'option de remplacement n'est pas une obligation. Il est demandé aux pratiquants d'accepter cet état de fait en songeant que tout investissement personnel de l'enseignant dans sa propre progression ne peut que rejaillir positivement sur la qualité des cours. Ces « absences » sont le prix à payer pour un enseignement de qualité. Elles ne peuvent être invoquées contre un remboursement quelconque, même partiel, de cotisation. Aucune contestation de ce principe ne sera entendue.
En outre, Christophe dispense également, lui-même, des stages tant en Belgique qu’à l’étranger (e.g. Suisse, Autriche, Tunisie, Grèce, Italie). L’accompagner lors de ses déplacements est une manière de prolonger l’apprentissage.
4.3.
Certains cours seront assurés par des professeurs visiteurs, soit en partage avec Christophe soit totalement. Cette pratique fait partie de la nécessaire ouverture d'esprit qu'il faut garder tout au long de son apprentissage. Elle fait également partie des règles de courtoisie entre professeurs.
Le Dojo-Cho, à savoir Christophe, peut ainsi remercier la présence et témoigner sa confiance en déléguant un de ses cours à un pratiquant haut gradé qui lui ferait l'honneur de rendre visite au dojo. Il est demandé aux pratiquants de se plier à cette règle et de profiter au maximum de la diversité d'approches qui leur est ainsi offerte.
5. Étiquette et comportement :
- En montant sur le tapis et en le quittant, vous devez saluer.
- Saluez toujours en direction du SHOMEN et du portrait du fondateur.
- Respectez vos instruments de travail. Le GI (tenue de pratique) doit être propre et en bon état, les armes rangées lorsqu'elle ne sont pas utilisées.
- Ne vous servez jamais d'un GI ou d'armes qui ne vous appartiennent pas.
- Quelques minutes avant la pratique, vous devez être échauffé, assis en seïza et aligné sur les autres pratiquants déjà installés. Ces quelques minutes permettent à votre esprit de faire le vide, de se débarrasser des problèmes de la journée et préparent à l'étude.
- Le cours commence et se termine par une cérémonie formelle. Il est essentiel d'être à l'heure pour y participer mais si vous arrivez en retard, vous devez attendre à côté du tapis jusqu'à ce que l'enseignant vous fasse signe de vous joindre au cours. Saluez en montant sur le tapis. Veillez aussi à ne pas perturber le cours.
- La façon correcte de s'asseoir sur le tapis est la position seïza. Mais si vous êtes blessé aux genoux, vous pouvez vous asseoir en tailleur. N'allongez jamais les jambes et ne vous adossez pas au mur ou à un poteau. Vous devez être disponible à chaque instant.
- Ne quittez pas le tapis pendant la pratique sauf en cas de blessure ou de malaise.
- Quand le professeur montre une technique, vous devez rester assis en seïza (ou tailleur) et regarder attentivement. Après la démonstration, saluez un partenaire et commencez à travailler.
- Dès que la fin d'une technique est annoncée, arrêtez immédiatement votre mouvement, saluez votre partenaire et rejoignez les autres pratiquants assis en ligne.
- Ne restez jamais debout sur le tapis sans travailler. S'il le faut, restez en seïza en attendant votre tour.
- Ne croisez pas les bras (signe de défi!)
- Si pour une raison ou pour une autre vous devez absolument poser une question au professeur, allez vers lui, ne l'appelez jamais : saluez-le avec respect et attendez qu'il soit disponible. Un salut debout suffit dans ce cas.
- Quand le professeur vous montre un mouvement en particulier pendant le cours, mettez-vous à genoux et regardez attentivement. Saluez-le lorsqu'il a terminé. Quand il corrige un autre pratiquant dans votre voisinage, vous devez vous arrêter et vous mettre à l écart en seiza pour profiter de l'enseignement et lui laisser suffisamment d'espace pour dispenser ses explications sans gêne.
- Respectez les pratiquants les plus gradés. Ne discutez jamais à propos de technique.
- Vous êtes là pour travailler, non pour imposer vos idées aux autres. Dans ce cadre, l'usage de la force aux seules fins de « bloquer » le mouvement du partenaire est rigoureusement proscrit.
- Si vous connaissez le mouvement et que vous travaillez avec quelqu'un qui ne le connaît pas, vous pouvez le guider. Mais n'essayez pas de corriger si vous n'avez pas le niveau YUDANSHA (ceinture noire).
- Parlez le moins possible sur le tapis.
- Ne vous prélassez pas sur le tapis avant ou après le cours. Il est réservé à ceux qui désirent pratiquer.
- Le tapis devrait être balayé/nettoyé chaque jour avant les cours. Chacun est responsable de la propreté du dojo. Ce travail de nettoyage est également une activité du misogi (purification intérieure).
- Il est interdit de manger, boire, fumer, mastiquer du chewing-gum sur le tapis et en dehors pendant la pratique.
- Le port des bijoux est à proscrire pendant la pratique.
- On dit habituellement « Onegaï shimasu » (littéralement : je vous fais une requête, s'il vous plaît) au moment du salut du début du cours et « Arigatoo gozaïmashita » (merci) en fin de cours.
- Il convient de faire son possible pour respecter l'harmonie du dojo et donner de la plénitude à la pratique.
Vous pouvez inviter quiconque à venir regarder un cours à n'importe quel moment, à condition d'avoir préalablement demandé l'autorisation au professeur et que les règles suivantes soient observées :
- Le visiteur-spectateur doit prendre place avec discrétion, ne pas poser les jambes sur un meuble et ne peut adopter une position semi-allongée.
- Il est interdit de boire ou de manger pendant les cours.
- Le visiteur ne peut parler à quiconque se trouvant sur le tapis.
- Le visiteur ne peut pas se promener pendant que le professeur montre ou corrige un mouvement.
Bien qu'il y ait de nombreuses règles d'étiquette à assimiler, elles viendront naturellement avec une pratique régulière. Ne soyez pas vexé si on vous corrige un détail, car chacun de ces détails est important pour la sécurité de tous et a un but éducatif précis.
L'aïkido n'est pas une religion, mais une éducation et un perfectionnement de l'esprit.
Prérogatives particulières du professeur :
- Le professeur peut refuser l'inscription d'un pratiquant.
- Le professeur peut interdire l'accès à un visiteur, s'il n'a pas préalablement donné son accord.
- Le professeur peut à tout moment prier un pratiquant ou un visiteur de sortir.
- Enfin, dans des circonstances exceptionnelles, le professeur peut congédier un pratiquant régulièrement inscrit aux cours. Si ce renvoi a lieu avant les 6 premiers mois, et que le pratiquant s'est acquitté d'une cotisation annuelle, la moité de celle-ci lui sera remboursée.
6. Parrainage :
Tout nouveau pratiquant au dojo se voit désigner un parrain. Celui-ci a pour mission d'encadrer le débutant et de répondre à toutes ses questions. Le parrain est d'une certaine façon, le garant du pratiquant nouveau venu. Le parrainage en tant que tel se prolonge jusqu'au passage de l'examen de 6ème kyu.